THE SUNDAY TIMES

« Un jeu magnifique, doté d’une immense palette de nuances et d’une finesse typiquement française. L’interprétation alliait autorité et délicatesse. (…) Une virtuosité passionnée, libre, presque improvisée, d’un niveau exceptionnel, qui dépassait de loin la simple démonstration technique. »

PIANO INTERNATIONAL

« L’interprétation de Daudet faisait partie de ces moments musicaux rares, uniques, que les mélomanes recherchent toute leur vie. »

CONCERTONET NEW YORK

« Dès qu’elle est entrée en scène hier soir au Weill Recital Hall, Célimène Daudet a créé son propre univers. “Voici”, semblait-elle dire, “ma vision de Debussy. Mais puisque vous êtes là, profitez du spectacle.” »

GRAMOPHONE

« Célimène Daudet est une pianiste française sensible et évocatrice (…) Dans les Préludes de Messiaen — du plus long, “Les Cloches d’angoisse et larmes d’adieu”, au plus bref, “La Lumière nombreuse” — elle transmet l’impression de sensations saisies dans l’air, étincelantes et évanescentes, savourées pleinement avant d’être relâchées dans l’éther.
Les Préludes de Debussy, peut-être plus familiers, sont tout aussi savoureux : “La puerta del vino” est magnifiquement structurée, tandis que “La terrasse des audiences du clair de lune” semble irradier une lumière argentée. Malgré la maturité et la sophistication des conceptions de Daudet, on sent qu’elle nous réserve encore de grandes choses. J’ai hâte de les découvrir. »

LE MONDE

« De l’ivoire sous les doigts de Célimène Daudet ? Non, du marbre, pour certaines touches, de la poudre de mica ou de quartz pour d’autres. En somme, un clavier de pierres précieuses, une ouverture sur le rêve que Célimène Daudet parvient à restituer avec une double qualité d’énergie et d’abandon. »

LE FIGARO MAGAZINE

« Célimène Daudet publie une envoûtante Messe Noire […] Une mystique à rebours, rendue possible par un toucher et une sensibilité de la beauté du diable. »

TÉLÉRAMA

« Un jeu débordant de couleurs, parfois très tendre, souvent en apesanteur, ce qui ne l’empêche pas de se montrer aussi, quand il le faut, ferme et décidé. »

LIBÉRATION

« Disque favori 2018 de Libération … parce que cette pianiste a des idées, des convictions et du talent. »

DIAPASON

« Cette très belle artiste rejoint le cercle restreint des debussystes authentiques. Au petit jeu des comparaisons, elle terrasse le géant Pollini. »

ELLE MAGAZINE

« Sa majesté des touches : Célimène Daudet signe notre album préféré de cette fin d'année »

LA CROIX

« Pianiste d’une rare finesse – mais son jeu déborde d’énergie quand le répertoire l’exige. Le jeu de Célimène Daudet d’une grande intégrité et d’une parfaite lisibilité déploie un lyrisme séduisant, délicat ou brûlant. Il s’en dégage une profondeur sans affectation, qui laisse avant tout parler la musique. »

DER FALTER

« Pourpre, orange, gris ou vert – à chacun de ses huit Préludes, le compositeur, alors âgé de vingt ans, avait associé une couleur. Ce charmant bijou de sons et d’atmosphères est associé par la pianiste française Célimène Daudet à la musique de Claude Debussy, source d’inspiration de Messiaen. »

MUSICOLOGIE.ORG

« Majesté virtuose, somptueuse, envoûtante, imperturbable dans les mouvements lents. Il y a aussi cette manière de sembler disparaître derrière la musique, tout en s’imposant comme le maître indiscutable. »

CLASSICAGENDA

« On est séduit par la personnalité de cette pianiste dont le jeu souple, l’épanouissement constant du son, la poétique nous rappellent l’historique interprétation de Walter Gieseking. »

BACHTRACK - Récital au festival Muse et Piano

« On sort troublé, ému de cette expérience en pareil lieu, pour retourner dans les entrailles du Louvre-Lens, dans ce sous-sol de béton où Célimène Daudet va jouer un programme associant le dernier Liszt au Scriabine des débuts et de la fin. Elle va entraîner le public dans un univers dont la force est décuplé par l’étrangeté du lieu. Célimène Daudet a une conscience de la forme, une science des articulations, des équilibres sonores assez incroyables. Son oreille incroyablement fine entend tout du cheminement harmonique parfois déroutant de pièces qui flirtent avec l’atonalité, semblent suspendues, hésitantes face à la résolution qui semble arriver mais se dérobe. Son écoute, son imagination et une technique merveilleusement accomplie lui font réussir des gradations sonores sans limites apparentes : son piano est un orchestre. Triomphe ! » (Alain Lompech)

JOURNAL ZIBELINE - Création du concerto de Christian Rivet au Grand Théâtre de Provence

« Le Concerto pour piano de Christian Rivet convoque un imaginaire familier, entre atonalité du langage et onctuosité rythmique. Conçu spécialement pour l’impressionnante Célimène Daudet, l’opus rappelle dans ses contours les mélopées lyriques pour luth, instrument de formation du compositeur. Le temps suspendu dessine, au fil de traits disséminés d’un pupitre à l’autre, un paysage mouvant fait de timbres versatiles, toujours distincts et pourtant toujours en osmose. »

CON SPIRITO - récital au Festival de la Roque d’Antheron

« Nous voici comme entourés d’une bulle impénétrable, notre esprit et notre corps deviennent musique, celle qui se déroule dans la pensée et sous les doigts de la pianiste devant nous. Le temps prend alors une autre dimension. Nous entrons dans cette respiration que Célimène Daudet installe au fil de la fugue, par une conduite ample du chant, prenant le temps de lier, de phraser, de pénétrer la structure du son lui-même. Il y a profondeur et rigueur dans son jeu. Rigueur du temps mesuré sans raideur, précision du rythme pointé qui confère cet esprit de joie au Contrapunctus II, profondeur et rondeur teintée de sensualité dans le Contrapunctus VII dont les quatre voix entrent tour à tour, pensées, conçues, nées de la chair et de l’esprit. Le Contrapunctus XIV qui commence dans un dénuement à fleur d’âme, s’échafaude magistralement dans la complexité de ses lignes. La musicienne l’érige pierre par pierre, toujours plus haut vers son infini, vers sa vertigineuse signature : B.A.C.H. (si bémol, la, ré, si), avançant avec confiance et vaillance vers l’inachevé. »

Revues de presse